
Création "Stabat Mater" autour de Vivaldi, Cortona, Locatelli ... par le Concert de l'Hostel-Dieu et la Camera dell Lacrime sous la direction de Franck-Emmanuel Comte.
Billetterie office de tourisme, en ligne ou sur place.
Billetterie office de tourisme, en ligne ou sur place.
La supplique du Stabat Mater est un fragment des Sept Douleurs de la Vierge. Il s’agit du cinquième moment, lorsque Marie se tient devant la croix :
La prophétie de Siméon.
La fuite en Égypte.
La disparition de l'Enfant pendant trois jours.
La rencontre (le temps d’un regard) avec Jésus portant sa croix et montant au Calvaire.
Marie, debout au pied de la croix.
La descente de Jésus.
La mise au tombeau.
Ce sont ces sept étapes qui jalonnent notre création spectaculaire, collaboration entre nos deux formations, l’une (basée à Clermont-Ferrand) observant les traces du Moyen Âge, l’autre (installée à Lyon) spécialisée dans la consultation et la mise en lumière des partitions de l’époque baroque.
La séquence (poème chanté) du Stabat Mater serait attribué pour certains à Jacopone da Todi (vers 1220-1306) ou alors pour d’autres à saint Bonaventure (1221-1274). C’est également à l’occasion de la fête des Sept Douleurs de la Vierge le 18 mars 1712 dans la ville de Breschia en Lombardie, que Vivaldi crée son Stabat Mater ; œuvre sublime qui met en musique ses réflexions intimes face à la sidération devant la mort et la confrontation de chacun à la finitude. Ces réflexions se traduisent par une musique qui évolue subtilement entre retenue et expressivité, et qui fait place dans les derniers versets à la lumière, au pardon et à l’espoir dans « la gloire du paradis ».
Nous avons choisi des laudes du 13ᵉ siècle, du manuscrit de Cortona pour compléter notre proposition. Celle-ci qui a donc en son centre une des pièces phares du répertoire baroque arrangé dans notre spectacle pour la voix de ténor. L’universel n’est pas quelque chose que l’on décrète, c’est un processus de construction. Du vestige d’une tradition qui nous arrive du Moyen Âge et dont Vivaldi a apporté du vertigineux dans l’écriture de la supplication, nous allons nous réunir pour accorder nos cœurs et nos âmes au profit d’un « faire commun ». De notre rencontre sur le plateau naîtra une organisation où chaque geste sera musical autant que pictural.
La prophétie de Siméon.
La fuite en Égypte.
La disparition de l'Enfant pendant trois jours.
La rencontre (le temps d’un regard) avec Jésus portant sa croix et montant au Calvaire.
Marie, debout au pied de la croix.
La descente de Jésus.
La mise au tombeau.
Ce sont ces sept étapes qui jalonnent notre création spectaculaire, collaboration entre nos deux formations, l’une (basée à Clermont-Ferrand) observant les traces du Moyen Âge, l’autre (installée à Lyon) spécialisée dans la consultation et la mise en lumière des partitions de l’époque baroque.
La séquence (poème chanté) du Stabat Mater serait attribué pour certains à Jacopone da Todi (vers 1220-1306) ou alors pour d’autres à saint Bonaventure (1221-1274). C’est également à l’occasion de la fête des Sept Douleurs de la Vierge le 18 mars 1712 dans la ville de Breschia en Lombardie, que Vivaldi crée son Stabat Mater ; œuvre sublime qui met en musique ses réflexions intimes face à la sidération devant la mort et la confrontation de chacun à la finitude. Ces réflexions se traduisent par une musique qui évolue subtilement entre retenue et expressivité, et qui fait place dans les derniers versets à la lumière, au pardon et à l’espoir dans « la gloire du paradis ».
Nous avons choisi des laudes du 13ᵉ siècle, du manuscrit de Cortona pour compléter notre proposition. Celle-ci qui a donc en son centre une des pièces phares du répertoire baroque arrangé dans notre spectacle pour la voix de ténor. L’universel n’est pas quelque chose que l’on décrète, c’est un processus de construction. Du vestige d’une tradition qui nous arrive du Moyen Âge et dont Vivaldi a apporté du vertigineux dans l’écriture de la supplication, nous allons nous réunir pour accorder nos cœurs et nos âmes au profit d’un « faire commun ». De notre rencontre sur le plateau naîtra une organisation où chaque geste sera musical autant que pictural.
Réservation
Réservation
Prestations
Prestations
Accessible en fauteuil roulant avec aide
Place réservée PMR
Cheminement de plain-pied
Zone de circulation dégagée
Entrée accessible
Possibilité de déposer quelqu’un devant le site
Personnel d’accueil sensibilisé à l’accueil des personnes en situation de handicap
Parking à proximité
Animaux non acceptés
Tarifs
Tarifs
Le 23 août 2025
Le 23 août 2025
Plein tarif
22€
Tarif réduitEtudiant, chômeur, enfant de 6 à 15 ans, élève adulte des écoles de musique Haut-Lignon et Val Eyrieux, stagiaire du Festival.
12€
Gratuit pour les élèves musiciens mineurs.
Clientèles acceptées
Clientèles acceptées
- Tarif spécial pour étudiants
- Tarif spécial pour demandeurs d'emploi
Horaires
Horaires
Le 23 août 2025
- 21:00
Sur réservation